Les Noëls reviennent et chaque année, l’ancienne libraire toujours complètement zinzin de littérature jeunesse que je suis s’amuse comme une folle à trouver des livres à offrir en cadeau aux neveux et nièces, et aux enfants des cousins.
Les Noëls reviennent et chaque année, l’ancienne libraire toujours complètement zinzin de littérature jeunesse que je suis s’amuse comme une folle à trouver des livres à offrir en cadeau aux neveux et nièces, et aux enfants des cousins.
J’en gardais un excellent souvenir.
Une histoire de sorcières complètement déjantée, un concours loufoque et des personnages mémorables.
C’est exactement le genre d’histoire dont j’avais besoin, et je suis allée repêcher le roman de la défunte Eva Ibbotson parmi les piles de romans que je n’ai toujours pas rangé, des mois après avoir déménagé (encore, mais pour la dernière fois avant très longtemps).
La relecture me réservait une surprise de taille.
Il y avait des années que je n’avais relu ce classique d’Eva Ibbotson, écrit en 1979 et traduit sur le tard en 2006 dans la collection Albin Michel WIZ.
Je me souvenais d’avoir gardé (ou retrouvé) le sourire en relisant les aventures loufoques de cette bande de sorcières s’affrontant dans un concours de sortilèges ténébreux, lancé par le maitre du mal en personne, le terrible sorcier Arriman.
Le roman, un feu roulant d’actions, toujours bien écrit, bien traduit, cette fois-ci, m’ennui un peu. Je saute des paragraphes entiers, je lis en diagonale. Mais qu’est-ce qui m’arrive?
Nah! Simplement, j’aime davantage trouver détails et mystère dans les univers fantastiques que je visite ces temps-ci.
Alors, malgré mon manque d’enthousiasme, je recommande encore chaudement la lecture de ce roman toujours merveilleux, si vous avez envie d’actions et de rebondissements à chaque instant.
Par un heureux jour, avant les cheveux blancs et les boires à deux heures du mat’, Artemis Fowl entrait dans ma bibliothèque.